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  • Photo du rédacteurYanik Comeau

27 octobre

Dernière mise à jour : 27 oct. 2023

Notre théâtre est foisonnant de belles créations. Venez voir ce qui a marqué le 27 octobre au fil des années.


1982: Création de En ville d’Élizabeth Bourget dans une mise en scène de Gilbert Lepage à la Compagnie Jean Duceppe (Montréal)


Je n'ai pas vu cette pièce mais je suis devenu un fan d'Élizabeth Bourget à la lecture de ses pièces avant d'avoir la chance d'en voir sur scène. En ville a été écrite sur commande pour la Compagnie Jean Duceppe. La pièce mettait en scène une jeune Linda Sorgini, Marcel Leboeuf, Béatrice Picard (après le succès de Bonne fête, maman l'année précédente au Bateau-théâtre L'Escale et chez Duceppe), Yvon Leroux, Monique Aubry et Roger Garand (au sommet de la gloire à la télé dans les rôles de Mémère Bouchard et Isidore Leclerc dans Le Temps d'un paix), Ronald Guévremont et Jean-Louis Millette. La pièce aura droit à deux représentations supplémentaires à la Salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec, comme en témoigne cette affiche.


2004: Création de Les Bonbons qui sauvent la vie de Serge Boucher dans une mise en scène de René Richard Cyr à la Compagnie Jean Duceppe (Montréal)


Après le succès de 24 poses (portrait) au Centre du Théâtre d'Aujourd'hui et chez Duceppe, il était juste naturel et normal que Michel Dumont veuille rapidement retrouver les mots de Serge Boucher. Avec Les Bonbons qui sauvent la vie, c'était chose faite. Non seulement Maude Guérin retrouvait-elle l'univers de Boucher (Motel Hélène) mais René Richard Cyr (Motel Hélène, 24 poses, Avec Norm), Michel Dumont et Adèle Reinhardt (24 poses) aussi. Véronique Le Flaguais, Isabelle Vincent, Alexandrine Agostini, Denis Roy et Hélène Loiselle (dans ce qui s'avérera son avant-dernier rôle à la scène) complètent la distribution. On retrouve toujours la famille et les dialogues pétillants de Boucher. Une pièce certes moins marquante mais... comme on dit souvent de Tremblay, «un Tremblay ordinaire, c'est quand même un Tremblay!» et «un Boucher ordinaire, c'est quand même un Boucher!»


2009: Création d’Apocalypse à Kamloops de Stephan Cloutier dans une mise en scène de Patric Saucier au Théâtre de La Bordée (Québec) en coproduction avec Théâtre du Tandem


Frédérique Bradet, Jack Robitaille, Stéphanie Lavoie, Nicolas Létourneau et Joanie Lehoux (avec la voix de Martin Héroux) forment la distribution de cette pièce du comédien / auteur Stephan Cloutier qui avait d'abord fait l'objet d'une lecture publique par le Centre des auteurs dramatiques.


2016: Création de Le Garçon au visage disparu de Larry Tremblay dans une mise en scène de Benoît Vermeulen, une production du Théâtre Le Clou, à la Maison de la Culture Mercier (Montréal)


Après avoir été créée à l'auditorium de la Maison de la Culture Mercier, cette nouvelle pièce de Larry Tremblay, écrite pour un public adolescent mais tout aussi fascinante pour le public adulte, sera présentée au Théâtre La Licorne. Elle se transportera ensuite à Le Mans, en France, au Festival À Pas Contés à Dijon, aux Rencontres Théâtre Ados à Laval au Québec et au Festival du TRAC à Paspébiac. En tout, ce sont quelque 69 représentations qui seront données en France et au Québec. À la création, la pièce mettait en vedette Julie McClemens, David Strasbourg, Christian E. Roy et Alice Moreault. En 2018-2019, Annie Kim Thériault prendra la relève d'Alice Moreault.

Photos: Charles Bélisle


Sur le site de Larry Tremblay, la pièce est résumée ainsi: «Jérémy se plaint que son père, travailleur humanitaire, délaisse sa famille au profit d’étrangers vivant à l’autre bout du monde. Il faudrait qu’il soit lui-même à moitié mort, pense-t-il, pour que son père lui exprime enfin son amour. Lorsque Jérémy apprend que celui-ci a été pris en otage, son univers bascule. Sa mère, un matin, le retrouve dans son lit sans visage. Les oreilles, les yeux, le nez de son fils ont disparu. Désemparée, elle contacte policier, psychiatre et prêtre afin qu’ils l’aident à comprendre cette étrange disparition. Texte métaphorique, Le garçon au visage disparu nous transporte dans un monde teinté d’humour, tantôt loufoque, tantôt inquiétant, où le théâtre flirte avec le fantastique et le film d’épouvante. Larry Tremblay, dans cette nouvelle création, explore le territoire de l’adolescence quand l’identité, encore fragile, cherche ses repères.»





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